Evangeliste Jonas SAWADOGO

La vrai course au bonheur

Depuis la nuit des temps, la course au bonheur a toujours été la préoccupation de l’Humanité. Aujourd’hui encore non loin d’être réprimée cette idée préoccupante connaît un essor et connaîtra un essor sans précédent car sa puissance, sa force motrice, sa vitesse et son accélération qui naissent dans le «moi » de tous ne sont pas à désirer. Ce bonheur est le but que beaucoup de femmes et d’hommes cherchent à atteindre à tout prix. C’est ainsi que des jeunes filles se livrent à la prostitution inhumaine ; des hommes et des femmes s’adonnent à l’alcool, à des soirées où l’on s’éclate à la drogue au sexe, aux habitudes et comportements nonséabons imaginables dits modernes. D’autres pour le même but se suicident et soulignons que ce taux ne fait s’accroître du jour au lendemain. Ce taux très fluctuant est très remarquable aux USA à nos jours et par extension aussi et surtout dans les pays les plus développés que dans les pays pauvres. Aussi chez certains c’est dans les boîtes de nuit, les danses au nu et la chasse homme- femme et femme- homme. Le bonheur est réellement un idéal et avec lequel on ne badinerait pas. Cette course est à louer et à remporter la victoire quoi qu’il advienne. Mais hélas! Le trophée qui attend nos jeunes nos hommes et nos femmes dans leur champ de bataille n’est pas à envier car il est de visage dédaigneux et presque inexistant. Cela car tel plaisir, quelle durée, l’accordez-vous: un an, un mois, un jour, une heure, une minute une seconde, 1/60 de seconde ou 1/3600 de seconde ou une fois trouvée reste- elle éternelle ? Jamais même pas 1/36000 de seconde car la notion de bonheur elle-même est ignorée. Le bonheur ne s ‘arrête pas seulement au manger, au boire, aux amis, au temps matériel ou le bonheur que nous voulons créer avec nos cinq organes de sens. Cela n’est pas le bonheur car sur cette terre personne n’a atteint ce bonheur. Personne n’est satisfait de sa situation. Sinon comment pouvons- nous comprendre qu’au lieu que les pauvres se suicident à cause de leur dénuement, ce sont les nantis qui se tuent. Imaginable et incroyable. Personne n’est satisfait de ce que lui offre ce monde présent, la vie quotidienne et même la nature. Mais est-ce pour autant que le vrai bonheur n’existe pas, le seul car il n’y a qu’un seul vrai bonheur que nous ne pouvons pas avoir par nos courses, nos engagements, nos plaisirs mais qui se trouve en Jésus Christ et dépendant de notre relation avec notre Créateur. C’est en confiant la clef et le volant de notre vie au seigneur que nous découvrons et trouverons le véritable bonheur. Heureux ceux qui ont déjà trouvé ce bonheur. Il n’est donc pas laisser à n’importe qui par sa propre imagination, intelligence, sa propre conviction. La parole de Dieu déclare que tous sont séparés de Dieu par leur péché, en se livrant à tout pour le bonheur de ce monde qui passe comme la fleur fanée mais ajoute que Jésus est venu pour mettre fin à cette séparation et rétablir la relation de l’homme- Dieu. Pour cela donc voici les piliers en vue d’emprunter la voie pour le bonheur : Il faut que l’homme admette qu’il est pécheur et qu’il a offensé Dieu en commettant le péché( vol, mensonge convoitise, prostitution, égoïsme manque d’amour et de foi, débauche …) qu’il le regrette et de son sort dans un tel état, qu’il confesse à Dieu, et croit que Jésus est venu par sa mort sa résurrection pour être un pont par lequel passer pour être lavé de son péché et enfin qu’il accepte le don du salut en Christ qui doit se matérialiser, se manifester par l’abandon de toute sa vie et ses entreprises et projets dans les mains de Jésus. A ce stade sa relation avec Dieu sera rétablie et Jésus prendra soin de lui. Oh! quel bonheur en ce moment car «l’Eternel connaît les projets qu’il a formés pour vous, des projets de paix, de bonheur et non de malheur afin de vous donner un avenir et de l’espérance »( Jérémie 29.11) et Christ en vous l’espérance de la gloire(Colossiens 1.27) Ainsi il commencera à jouir du véritable bonheur qui se prolongera jusque dans l’éternité. Ce bonheur ne signifierait pas que vous serez tous les jours et à n’importe quel moment dans le beurre ou du point climatique dans la zone tempérée. Mais cela est rendu possible car ce n’est plus nous qui vivons, c’est Christ qui vit et comme il est celui qui était, qui est et qui sera, celui qui a reçu tout pouvoir dans le ciel et sur la terre ; c’est à lui de nous conduire, de nous translater comme il le voudrait à sa propre guise. Toutes choses lui sont soumises: les conditions climatiques, le nécessaire vital, le ciel, la terre, les hommes. Il est celui qui transforme la poussière en homme, la mort à la vie, les montagnes en océans, le vide en monde, la tristesse en joie, le malheur en bonheur et pour toujours et à la faveur de celui qui l’invite. Heureux l’homme dont la faute est effacée et le péché est pardonné ! Heureux l’homme au compte de qui l’Eternel ne porte pas le péché et qui est exempt de mauvaise foi! (Psaumes 32.1-2)